Le droit sera accordé aux majeurs, français ou résidents, s’ils sont atteints d’une « affection grave et incurable » en « phase avancée » ou « terminale », s’ils présentent « une souffrance physique ou psychologique », et s’ils sont en capacité de manifester leur volonté de façon libre et éclairée.Le député Olivier Falorni, rapporteur du projet de loi sur l’aide à mourir et les soins de fin de vie, lors des débats sur le sujet, à l’Assemblée nationale, à Paris, le 12 mai 2025.
Aide à mourir : les députés ont voté les cinq conditions cumulatives pour qu’un malade soit éligible
Scritto il 21/05/2025